La clarinette fait partie des instruments qui a beaucoup de succès notamment grâce à sa présence dans de nombreux courants musicaux tels que le classique, le jazz, le blues. Elle a donc acquis ses lettres de noblesse mais il est essentiel de savoir comment l’entretenir.
Essuyer le surplus d’humidité
Comme peuvent le savoir les professionnels que l’on retrouve en vidéo sur www.clarinette.fr, l’humidité est l’ennemi de cet instrument car il va alors empêcher les notes d’offrir le son attendu car il est alors étouffé. Il s’agit alors d’être minutieux et utiliser un écouvillon qui est constitué d’un poids et d’une cordelette. Le but est de faire descendre le poids dans le pavillon en le tenant par la cordelette et ainsi essuyer ce qui a pu s’y déposer.
Il est souvent nécessaire de renouveler l’opération plusieurs fois. Il est également recommandé de toujours détacher la anche quand la personne a terminé de jouer afin d’éviter ce type de désagrément.
Entretenir les clés
Comme on peut le voir sur www.clarinette.fr, les clarinettes sont souvent dotées de clés argentées qui donnent cet éclat si particulier à l’instrument et qui le rendent aussi attractif. Cependant, pour garder cet aspect, il est essentiel de ne pas les laisser ternir car cela peut arriver par manque de temps ou par négligence.
Cependant, posséder un instrument demande un entretien constant. Pour cette partie de l’instrument, on utilisera un chiffon doux et sec pour enlever la poussière en prenant soin de passer entre chaque clé afin de redonner soin éclat à la clarinette. Il est souvent conseillé d’appliquer régulièrement de l’antioxydant afin de prévenir contre la rouille et donc garder son état actuel dans le temps. Le nettoyage de la clarinette doit donc être régulier pour continuer de jouer dans les meilleures conditions.
Souvent utilisé comme musique de fond dans les films, ce mouvement est probablement le plus connu du Concerto et son timbre mélancolique et son lyrisme est l’un des principaux facteurs qui ont valu au concerto le qualificatif d’ « automnal » par lequel il est souvent dépeint. Il est écrit en forme aria (autrement dit, en A/B/A) et s’ouvre sur le soliste jouant le thème principal, repris alors par l’orchestre. S’ensuit un jeu entre le soliste qui joue des notes descendantes et l’orchestre qui les reprend. Le développement du morceau alterne alors entre le registre du chalumeau (grave) et du clairon (aigu) de la clarinette. Ce passage s’achève souvent sur une cadence (la plupart du temps, on reprend une section du Larghetto du Quintette avec clarinette ) avant que le thème principal ne soit repris avant d’arriver à la coda.